par Pierre LÉNA
Conférence du mardi 5 décembre 2000 à 21 h, à la salle Auditorium du CNR
Le début du XXIe siècle voit se produire une intéressante conjonction : d'une part des télescopes optiques géants (VLT, Keck et d'autres) entrent en service dans une configuration de réseau interférométrique (en 2001 pour le VLT), obtenant ainsi le pouvoir de résolution angulaire de télescopes de plus de 100 m de diamètre ; d'autre part la découverte, en 1995, de la première planète extrasolaire par MAYOR et QUÉLOZ, suivie de bien d'autres, ouvre à l'astronomie un champ d'observation et d'interrogations entièrement nouveau, auquel justement ces instruments, aujourd'hui sur Terre, demain dans l'espace, vont sans doute apporter des contributions décisives.